La vie du mineur (partie 2)

Comme demandé dans mon premier post, voici la suite:

1- Il se rendait ensuite à la salle des pendus...
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2- ...son numéro correspondait à la chaîne où était suspendu ses vêtements de travail.
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3- Après avoir salué le contremaître...
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4- ...il se rendait à la lampisterie échanger son jeton contre sa lampe.
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5- Il ne lui restait plus qu'à rejoindre l'ascenseur pour une longue descente...
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Petite précision sur l'échange jeton/lampe: en fin de poste, les mineurs faisaient l'échange inverse. Si les intendants de la lampisterie remarquaient qu'un jeton n'avait pas retrouvé son mineur, une équipe était envoyé au fond pour retrouver leur collègue disparu. Dans le meilleur cas, la lampe du mineur s'était éteinte et, n'y voyant plus rien, il s'assit en attendant d'être retrouvé. Dans le pire des cas, en cas d'éboulement par exemple, l'équipe envoyé faisait tous leur possible pour remonter leur collègue déchu, pour rendre sa dépouille à leur famille...


A suivre...

J'en demande davantage moi !
Belle série !

J'allais te poser la question sur le jeton . Impressionnant la salle des pendus , je pensais qu'ils arrivaient directement avec leurs vêtements de travail . j'adore ton reportage super

Très bon reportage et bel hommage à ton grand-père.
De la haut, E. Zola doit regarder ton reportage avec intérêt, sois en sûr ...
Félicitations ...

Petite précision supplémentaire: le numéro sur le jeton était propre à chaque mineur, il lui permettait d'obtenir sa lampe bien entendu, mais correspondait aussi à son numéro de chaîne pour la salle des pendus.

Effectivement, la salle des pendus est impressionnante, sachant que la partie conservé, sur la photo n°1, est "petite" par rapport à avant...

Oulà là ... ça monte en iso ....